Une Ville, une Vie, Gaoual, notre destin commun, que nous aimons...

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Coup de gueule: L’aboyeur privé, perroquet ou je ne sais quoi…

En ce moment, dans tous les medias. Un des aboyeurs dont le nom m’échappe ne commente pas : il hurle. Pour rien, il hurle. Pénible que cet aboyeur des situations occultes, qui doit avoir des problèmes d’audition, ce n’est pas possible. Pénible. Remarquez, être aboyeur, c’est aussi un métier. Ça l’a été très longtemps, et avec les temps qui courent, ça revient même au premier plan.

Car des aboyeurs, il y en a toujours eu, ou presque, mais lui là, il est d’une espèce rare. Dès l’instant où l’on avait un régime qui se définissait comme au-dessus de la plèbe, il a fallu trouver des intermédiaires. Parler directement au peuple, c’était obligatoirement de la condescendance, le guignol de chef ne pouvant pas parler en direct à la populace. Les leaders foirés introduisent dans la tête des gens l’idée qu’ils sont des extraterrestres, ou tout comme, pour asseoir leur emprise sur la populace. Le guignol de chef est non seulement l’élu de Dieu, il a aussi le sang bleu. C’est invérifiable pour le commun des mortels : le seul à s’approcher des veines royales c’est son médecin personnel, qui va passer sa vie à la charmante occupation consistant à humer dès le matin les urines ou les défécations du souverain, à le saigner et à le clustériser. On sait on çà nous mène les aboyeurs publics…

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Le fouineur



17/06/2014
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