Une Ville, une Vie, Gaoual, notre destin commun, que nous aimons...

Une Ville, une Vie, Gaoual, notre destin commun, que nous aimons...

L’opposition guinéenne à l’école du Professeur Alpha Condé.

L’expérience est un de grand enseignement au monde. Les leçons apprises valent mieux que jamais du tout. Mais chez nous en Guinée, l’histoire bégaye encore et se cancérise, nous tournons autour, un peuple sourd et muet. Le système que nous avons hérité des différentes républiques nous impose un eternel recommencement. Des concepts à la con, nos valeurs siphonnées, masturbées, notre avenir confisqué par ses loubards hommes politiques, ses incrédules qui se prennent pour des patriotes libérateurs pour s’emparer de nos consciences. L’opposition guinéenne est la plus ridicule du monde. Elle est incapable de faire respecter l’ordre dans leurs propres rangs, des leaders politiques incapables de gérer des alliances. Ce sont des serials killers, des vagabonds, des prostitués politiques qui passent plus leurs temps à trahir leurs militants que de réfléchir sur des stratégies pour accéder au pouvoir suprême.

Ces derniers temps, l’opposition guinéenne à travers ses deux pantins les plus extrêmisés, se livrent à un vrai étalage de carences chronique en politique, et mettent à nue des dissensions qu’ils pouvaient régler aussi facilement en leaders murs.

Maurice Greene dans son best seller sur les 48 lois du pouvoir dit ceci : Pour exceller au jeu du pouvoir, il faut acquérir une certaine vision du monde, changé de perspective. Cela ne vient pas en un jour, et demande des efforts. Quelques techniques de base sont indispensables ; une fois maîtrisées, elles facilitent considérablement l’application des lois. La plus importante de ces techniques – elle est en vérité incontournable – c’est la capacité de maîtriser ses émotions. Une réaction épidermique aux événements de la vie est tout bonnement rédhibitoire : c’est une erreur qui fait payer très cher le soulagement éphémère d’avoir pu exprimer ses sentiments. Les émotions obscurcissent la raison ; elles empêchent de juger la situation clairement, donc d’y remédier et de la maîtriser. La colère est la plus destructive des réactions affectives, car c’est celle qui brouille le plus le jugement. Elle induit une réaction en chaîne qui vous fait perdre pied et affermit la détermination de votre ennemi. Pour détruire un adversaire qui vous a blessé, faites plutôt en sorte qu’il ne soit pas sur ses gardes ; feignez la camaraderie au lieu de vous irriter.

Vouloir poser ses fesses sur le trône demande de l’audace et de très forte dose de sources d’inspirations. Nos leaders politiques africains et plus particulièrement ceux de la guinée ne lisent jamais, ne s’inspirent pas des grands hommes qui ont marqués leurs temps.  Ils sont allergiques aux intellos et adorent les analphabètes. Les leaders politiques de l’opposition guinéenne ont perdu la tète et ne savent quoi faire pour nous sortir de cette merde d’impasse qu’ils ont eux même crées à travers leur manque de vision. On en a rien à foutre de vos titres académiques teintés de mensonges, de votre ethno stratégie à  la con, tous ces politiciens sont au service de cheytane, corrompus et devenus des vrais bombasses politique sans valeur à la solde du diable, ni morale, ni éthique.

En Guinée, chacun peut créer un parti et porter le nom de politicien. Personne ne s’intéresse au pourquoi tous ses branleurs dans la politique. C’est pourquoi il y’a trop de politiciens de circonstances, sans aucune vision. Faire de la politique dans ce foutu pays est devenu la chose la plus facile, et une fois qu’on est dedans on devient de la souillure prête à être sodomiser par le plus offrant. C’est pourquoi, quand on parle d’alliances en guinée, çà fait vraiment chier. C’est pourquoi les loubards politiques de l’UFDG et celui de l’UFR passent tous leurs temps à s‘entre fumer dans les medias. Nous sommes en train de former des bandits politiciens comparables à celui qui est déjà en train de nous dépouiller de toutes nos ressources.

Notre guinée est foutue. Il nous faut une nouvelle classe politique, une nouvelle race pure de politiciens. C’est pas cette meute de carnivores sans aucune valeur, qui ne se gênent pas de nous baver des insanités immonde au su et au vue de tous. On dirait que faire de la politique dans cet enfer de guinée, c’est de se lever le matin, aller dans les médias, insulter toute une ethnie, raconter des mensonges, chialer sur des personnes respectables, pisser sur les institutions ? Si c’est cela la démocratie, nous on vous dit d’aller vous la mettre là ou vous savez. Les leaders des partis politiques sont considérés ici comme des prophètes, si tu es de la même ethnie ou de la même famille que le président, tu es autorisé à faire tout ce qui te semble bien.

 Je termine ce post en disant ceci à nos médiocres opposants aux intensions obscures, au lieu de vous livrer à toute cette honteuse publicité sur vos dissensions et querelles inutiles, trouver en vous cette capacité de mettre en place une stratégie gagnante ou le seul victorieux sera le guinéen tout court.

 Albert Einstein nous disait ceci« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ». La meilleure façon de combattre le démon, c’est le sacrifice. Pour faire des sacrifices il faut des concessions. Les éternels opposants doivent savoir que leur temps est passé.

Le renouvellement de la classe politique guinéenne est une nécessité, car opposant historique ne rime pas forcement avec compétence. Si vous êtes incapables de trouver la solution du problème chers opposants, c’est que vous faites parti surement du problème. Allez-vous faire foutre bande de guignols…

Bamboo

002.jpg



20/06/2015
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Actualités locales pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 58 autres membres